Dès le lendemain de la 1ère Guerre mondiale, les exportateurs de vins et spiritueux considèrent que « Les exportateurs ont le droit de […] réclamer la conclusion d’accords commerciaux traités dans un esprit libéral et qui brisent les barrières douanières prohibitives (*) ». C’est sur la base de cette même philosophie que se déploient aujourd’hui les activités de la FEVS.
(*) Discours prononcé le 15 février 1922 par Bertrand de Mun, secrétaire général, lors de l’assemblée générale constitutive.